Très haut dans les charts en France et très diffusé à l’époque, force est de constater que le titre reste jusqu’à ce jour l’un des titres les plus sous-estimés de l’artiste anglais, notamment aux US. Petit retour en arrière.
Qui est Seal ?
Seal est un artiste britannique avec plus de 15 millions d’albums vendus dans le monde. En parlant du monde, le chanteur est allé un peu partout suite à de nombreuses expériences en tant que musicien. En effet, il a entre autre été dans un groupe de funk dans les années 80 (il a été en tournée avec le groupe au Japon). Il sera également dans un groupe de blues en Thaïlande. Il a passé une certaine partie des années 80 à se produire dans des lieux et bars locaux.
Avant de se lancer dans la musique, Seal a effectué des études d’architecture.
Seal commence son chemin vers le succès avec le titre “Killer” de Adamski, titre sur lesquels il chante et écrit les paroles.
Le succès de l’artiste se confirme avec son titre “Crazy” sorti en 1991, qui connaîtra un succès mondial. Son premier album sort la même année.
Son deuxième album, Seal II, sortira en 1994. On retrouve dans l’opus un de ses plus grands succès, “Kiss From A Rose”.
En 1998, Seal sort un album un peu plus sombre, Human Being, qui sera autant critiqué qu’encensé.
Seal IV, son quatrième album, sort en 2003. Y figurent entre autres des singles tels que “Get It Together” ou encore “Love’s Divine”.
S’ensuivent les sorties de System, Soul, Soul 6 : Commitment, Soul 2, 7 et Standards au cours des années 2000 et 2010.
“Love’s Divine” : un trésor enfoui
Le single est selon nous l’un des plus sous-estimés de toute la discographie de Seal.
Tout est tellement parfait et agréable à l’oreille dans la production, sans oublier le message de la chanson et les paroles, qui parle de désespoir et de trouver la lumière dans un moment inattendu et d’avoir une révélation, ce qui apporte une grande paix d’esprit.
L’artiste réalise ensuite qu’il a eu un voile devant les yeux pendant longtemps, et soudainement, une épiphanie apparaît et lui fait comprendre que la douleur est finie et qu’il n’y a plus lieu de souffrir, et que l’amour contribue entre autres à la guérison et à la fermeture de ses plaies.
