Élu chroniqueur de l’année de TPMP par les internautes, Raymond Aabou a accordé une interview à TV Magazine. Pour l’occasion, le jeune homme s’est livré sur les rapports qu’il entretient avec Cyril Hanouna. Explications.
Sa rencontre avec Cyril Hanouna
Depuis son arrivée sur TPMP, Raymond Aabou a su s’imposer comme l’un des chroniqueurs les plus appréciés de l’émission. Grâce à son humour décalé, son authenticité et sa complicité avec Cyril Hanouna, il a rapidement conquis le cœur des téléspectateurs. Elu chroniqueur de l’année pour la deuxième fois, le jeune homme est revenu sur la genèse de sa rencontre avec le présentateur de C8 :
Je le suivais depuis Comédie. J’avais même été le voir au théâtre Trévise avec des potes. J’avais dit que ce mec-là était très drôle et eux disaient que ce n’était pas ouf. Je veux faire de la radio avec lui. La première fois que le rencontre, c’est au Plaza Athénée. La première fois que je le vois, je vais trois fois aux toilettes, le pipi de la peur !
Raymond Aabou
Finalement, Cyril Hanouna a rapidement mis à l’aise son interlocuteur. Mais petit problème, son prénom était le même que le sien. Et ça, le présentateur de C8, ne pouvait pas l’accepter :
Il me demande mon nom, je dis que je m’appelle Cyril. Il me dit qu’il y a un problème et qu’on ne peut pas mettre deux Cyril à l’antenne et qu’il me faut un pseudo. Je dis que mon deuxième prénom, c’est Raymond, le prénom de mon grand-père
Raymond Aabou
Raymond Aabou évoque son entente avec Cyril Hanouna
Après plusieurs saisons à la radio, Cyril Hanouna intègre Raymond Aabou dans TPMP. Une aventure incroyable pour celui qui est encore chauffeur-livreur. D’ailleurs, il n’a pas hésité à faire un portrait de son patron :
Il a des relations très fortes avec Valérie. Avec Guillaume, il a de bonnes relations… Un peu avec tout le monde. Je pense qu’il n’est pas fou et qu’il sait très bien où sont ses amis, ses vrais amis, ses collègues de travail, les mecs avec qui il va faire du business… Il va très vite. Le mec qui se dit qu’il va être son pote et l’enfumer, c’est fini.
Raymond Aabou
